ma poesie.

Tu te pars de mille nymphes, de mille sylphides ; Beauté évidente, charmes dévoilés ; Ces danseuses, sote ingénue, que ton âme méprisent fondamentalement ; Tant si simplement tu dévores et leurs âmes et leurs corps. Cette fatalité ainsi exaucée ; Que...

T'avoir pensé, après t'avoir imaginé. Je pensais t'avoir créé, non tu étais déjà présente, indépendante, mais de ma volonté seulement. Je t'écoute et t'apprend, choses pas toujours évidente. Tu es belle, tu es là... Il reste que, bien trop souvent encore...

Mais le temps que Tristesse se fasse, mon Âme se meurtrie sans Complaisance encore... A-t-on dit que les Bonheurs passer par la Souffrance? Moi j'en veux pas de cet Abruti là! Alors je ne serai que Sagesse... Sans la moindre Condescendance.

Je ne sais pas te désigner, en réalité je ne sais pas vraiment qui tu es, à qui m'adresser. Ceci est mon Ode à toi charmant inconnu. Tu ne changes pas dans mon regard, malgré le temps qui passe, malgré les choses qui ne me laissent plus de trace. Pourtant...

Et la fragilité, La tendresse amère qu'elle nous laisse. Un jour cessera-t-elle ? Démunie, Jusqu'à ce qu'elle se taise. Sa détresse nous obsède... Qu'est ce que cela peut-il bien être ? Un reproche. Un mensonge. Une souffrance. Un manque..? Ça peut être...

Bien des choses changent avec le temps. Le temps qui passe, emporte, tout sur son passage. Il nous affaiblit à chaque fois. Et nous fait tout aussi changer. Une blessure, parfois, aide à en fermer une autre. Quoi qu'il en soit, le temps nous force souvent...